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La revue de presse de Tourisme autrement
Tourisme autrement inaugure une nouvelle rubrique sur son blog. La revue de presse paraîtra à chaque début de semaine et vous communiquera divers articles intéressants sur l’actualité du tourisme et de la consommation durable, de l’environnement et de la solidarité internationale.
Bonne lecture
– Le « slow tourism », l’art de voyager différemment, lu sur Youphil
L’heure n’est plus au « tout voir, tout de suite ». Dans la mouvance du « slow food », se développe le slow tourism, une nouvelle manière de voyager en prenant son temps. Outils privilégiés: le bateau, le vélo, la randonnée…
Nous vous avions aussi parlé du slow tourism ici
– Tendance, le « slow travel », lu sur le blog Planet Monde
Même sujet exposé par Louise Gaboury
– Le parc américain des Everglades jugé en péril par l’Unesco, lu sur Good Planet
« Le parc national américain des Everglades, en Floride, et la forêt tropicale d’Atsinanana, à Madagascar, ont été ajoutés vendredi par l’Unesco à la liste du Patrimoine mondial en péril. »
– Cette année, je me mets au Couchsurfing, sur le site web du CRIOC
Le Couchsurfing trouve de plus en plus d’adeptes de par le monde. Le CRIOC nous donne ici plus d’explications sur ce nouveau mode de voyage 2.0
Le slow tourism, l’éloge de la lenteur
Inspiré par le mouvement slowfood qui s’est forgé en opposition à la malbouffe et aux fast-foods, le « slow tourism », en français tourisme lent, prône l’éloge de la lenteur. Le slow tourism c’est prendre un temps que l’on ne s’accorde plus dans les sociétés occidentales pour découvrir et apprécier. C’est redonner au tourisme ces valeurs premières de temps de plaisir et de repos.
Voyage à roulotte, en mobylette, en vélo, il s’agit de prendre son temps pour découvrir une destination, de vivre au rythme de la population locale.
« Le tourisme lent vise à combiner respect de l’environnement, préservation des spécificités locales et plaisir de voyager », explique Ghislain Dubois, maître de conférences à l’université de Versailles.
Le train et le bateau sont des moyens de déplacement privilégiés du tourisme lent. Le transsibérien (vitesse moyenne 60 km par heure) ou l’orient-express ont de nouveau le vent en poupe; les voyages sur cargos marchands se développent également.
En partant moins souvent mais plus longtemps, les sauts de puces en avion, très friands en émissions de CO2, sont évités. Rappelons que même si la part du tourisme aux émissions mondiales de CO2 reste faible (environ 5%), les postes transports reste cependant très polluants et le tourisme lent fournit une excellente alternative.
Contribution du tourisme aux émissions CO2 (%) | |
Transport aérien | 40% |
Transport routier | 32% |
Hébergement | 3% |
Autres modes de transports | 21% |
Autres activités | 4% |
Total activités mondiales | 4,9% |
Le slow tourisme, l’éloge de la lenteur
Inspiré par le mouvement slowfood qui s’est forgé en opposition à la malbouffe et aux fast-foods, le « slow tourism », en français tourisme lent, prône l’éloge de la lenteur.
Continue Reading 27 janvier 2010 at 16 h 09 min 7 commentaires